ITINERAIRE

NAISSANCE DU PROJET

Mug, c'est Mu et Hugues, c'est un peu de la France, et beaucoup du Québec. Du Québec, et surtout de Montréal, la plus grande ville de cette belle Province canadienne, où Hugues et moi nous sommes connus. Montréal, grand carrefour culturel, est un lieu de rencontre, de partage et de création, non seulement entre les peuples et les cultures, mais aussi, à plus petite échelle, entre juste un homme, et juste une femme.

Dans une ère où les interventions évoluent et progressent largement, où les moyens techniques nous permettent de dépassr nos propres horizons et de traverser les frontières, où tous les peuples se penchent sur des questions psycho-sociales qui concernent leurs ainés ou leurs jeunes, "Gé-cri de par le monde" symbolise notre projet commun, celui que nous présenterons tout au long de ces prochains mois.


Concrètement, "Gé-cri de par le monde" est le moyen qui nous donnera l'opportunité de témoigner des interventions concernant deux sciences humaines et sociales:

- La première, la gérontologie, désigne l'étude du vieillissement humain. Dans nos sociétés occidentales où la population est vieillissante, la notion de qualité de vie est essentielle. C'est dans ce souci qu'Hugues se penche sur la question des milieux de vie tels qu'ils existent actuellement dans le monde et sur la place que les loisirs occupent.


- La seconde, la criminologie, est une science qui étudie les comportements criminels et tente non seulement d'expliquer le phénomène, en axant principalement son regard sur les causes et les impacts de la délinquance, mais aussi d'apporter des solutions, notamment en terme d'intervention. C'est auprès des jeunes contrevenants, qui sont dans une période développementale complexe et déterminante, que Murielle consacre ses recherches et tentera de mettre en avant les pratiques d'interventions originales et efficaces en terme de diminution de la récidive.

Nos deux passions, unifiées en un blog, nous permettrons de rassembler les pratiques de divers origines ethniques afin de promouvoir des interventions concrètes visant une plus grande qualité de vie et un plus grand respect des droits et libertés de nos citoyens.

CARNET DE ROUTE....

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LE SENEGAL ORIENTAL

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* 18/04/08: Kédougou

A part attendre toute une journée après un camion de riz pour partir vers le Mali et que Mu s'est achetée un beau masque sénégalais, nous n'avons pas fait grand chose ici. Cependant, comme promis je vous raconte cette épopée de la perte des photos de Mu: Assis confortablement sur nos sacs de riz (c'est cynique évidemment), nous regardions les villages défilés un à un... histoire de mettre l'ordre parfait dans son appareil photo qui comportait différentes grandeurs de photos (vu que la carte avait été utilisé avec un autre appareil dans le parc du Niokolo Koba), Murielle sélectionna l'option format (pour format de photos évidemment)... et bien non! Format était le seul mot non traduit de son appareil SILVER CREST (retenez la marque!!!)! En plus, aucun avertissement du genre: "Etes vous sûr de vouloir faire ça?"... "Vous allez peut-être faire une connerie, là..." Pas le temps de prendre conscience de ce qui se passe, et ni une ni deux, plus aucune photos dans l'appareil, ni celles qui avait été protégées volontairement! ... Vous l'aurez compris, le mot format voulait dire formater en fait... mais il était trop tard pour le comprendre! On ne peut que se rappeler de ces beaux moments que nous avions l'intension de capter sur image afin d'en conserver la beautée! Pfff... Tout parti en fumé... Même pas... Dissout... Même pas... Désintégré... Voilà les aléas du voyage..!


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* 15/04/08: Parc du Niokolo Koba

Disons que cette fois-ci, nous n'avons pas fait les chiches avec les moyens... au diable les dépenses et louons le 4x4, le guide, le chauffeur et l'hébergement dans le parc... mais question de ne pas trop dépenser... une bonne réserve de sardines pour ces 3 jours dans le parc...

C'est donc avec Fabrice, Leslie et Arnaud, trois français dont deux angevins, et un, particulièrement, qui connaissait Mu (le monde est petit dites-vous?...) que nous nous sommes embarqués dans cette aventure safarienne ;-)




Disons que les hippopotames étaient impressionnants, les singes abondants, les antilopes et facochères aussi. C'était le pied de se baigner dans une marre au couché du soleil sous le regard curieux des singes.
Le soir, on pouvait entendre la panthère qui allait choisir lequel de la bande (des singes) il allait manger... un vrai film live! Non, nous n'avons pas vu de nos propres yeux de vrais félins, sauf une panthère en captivité dans un enclos aux abords des vestiges d'un ancien poste de garde qui a subit les inondations il y de cela quelques temps et qui s'est résolu à changer d'endroit.

Bon, sans trop nous étaler sur le sujet, Hugues n'a pas pris trop de photos parce que son appareil tire vraiment beaucoup le jus des batteries rechargeables (on ne trouve pas de piles au lithium en Afrique) et malheureusement... comme vous pourrez le lire plus tard, Mu a perdu toutes ses photos prises depuis le Maroc...


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* 12/04/08: Tambacounda

Changement de programmes donc... Après avoir passés la nuit au poste frontière du Sénégal, dorlottés et choyés par nos chers policiers, se mettant en quatre pour satisfaire nos exigences, nous repartons en direction de la ville la plus proche, d'où nous pourrons rejoindre Tamba: Diobé. Après une gentille mais néanmoins sévère intimidation de la part de nos chers policiers sur un chauffeur de taxi, afin qu'il nous ramène à moindre frais, nous voilà, Hugues sur le toit du véhicule avec 4 autres personnes et moi, sur le siège avant avec 3 autres personnes, repartant d'où nous venions, et non plus à 10, mais à 20 personnes (pas une de plus, pas une de moins) pour un même véhicule, avec, bien entendu, la bénédiction des douaniers!!! Diobé Tamba, nous trouvons un minibus qui, après une multitude d'arret injustifié, nous amène à destination: Tamba, la ville la plus chaude du Sénégal: Sol à base de roches et de fers, pas de fleuve, de rivières ni d'océan. Voilà les raisons d'un tel climat, qui nous vide de notre eau, nous, pauvres occidentaux!!! Nous sommes le 14 aujourd'hui et après mures réflexions, nous descidons de partir en direction de l'un des plus beaux parcs d'Afrique de l'Ouest où nous pouvons voir une multitude de montres à grosses dents parait-il: le Parc de Niokolo Koba. Alors, attendez nous lions, hyenes, panthères, singes, hippopotames, antilopes, gazelles, nous voilà!!!!!

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FRONTIERE GUINEENNE

12/04/08: Frontière guinéenne

Grosse loose.... Après le passage de la frontière sénégalaise sans aucun problème grace aux nombreux bakchichs donnés par notre chauffeur aux douaniers situés de par et d'autre de la route, nous arrivons en Guinée vers 22h....
Descente du véhicule à la rencontre des douaniers, avec des sachets de thé à la menthe pour les éventuelles problèmes qu'il faudrait régler à l'amiable: Avez vous dit corruption???....
Après avoir regardé nos deux passeports, le douanier nous regarde, perturbé: "Mais, où sont vos visa??..." Et nous de répondre naivement: "Nous attendions d'être à la frontière afin de le faire faire au poste, Monsieur!" "Mais, nous ne pouvons pas faire ça, nous ne délivrons pas de visa ici!"... Après avoir parlé au commissaire, téléphoné aux autorités, discuté avec les collègues etc etc., le douanier ne put rien nous dire d'autre que "Désolé, vous allez être obligé de faire demi tour et de retourner au Sénégal!" Nonnnn!! Oui, vous l'aurez compris: Le visa pour la Guinée doit impérativement être délivré en avance!!! Nous l'aurons juste appris un peu tard... Finalement, ayant payé le taxi jusqu'à Labé, nous avons été remboursé de la moitié, reconduit 8km avant, au poste de frontière sénégalais avec un policier guinéen chargé de porter une lettre soigneusement rédigé par ses supérieurs, faisant état de la situation...
Bye bye la Guinée!!.......

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LA CASAMANCE


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31/03/08: Ziguinchor

Un peu comme arrivé dans un autre pays (et c'est un peu vrai puisque de toute façon, il faut quitter le Sénégal pour traverser la Gambie lorsqu'on arrive en Casamance). Le paysage est totalement différent, de la verdure, des palmiers, des noix de coco, des thermitières énormes. Un nous dit au nord que la zone est dangereuse, mais aussi que les gens peuvent y être super accueillant.

L'arrivé à Ziguinchor n'a pas été la meilleure, à peine arrivé, nous fûmes assaillis par des jeunes qui voulaient nous envoyer chez l'oncle qui tenait un hôtel... ils voulaient nous le montrer dans nos guides de voyage, résultat, on s'est fait voler notre Lonely Planet Afrique de l'Ouest. Le lendemain, visite des librairies de matériel usager soit pour le retrouver, soit pour acheter un guide équivalent... mais rien d'assez recent pour nous.

Il fait chaud à Ziguinchor, très chaud. Nous avons profité de notre séjour dans la capitale casamançaise pour bien manger (pleins de crevettes) et faire quelques marchés. Mumu s'est fait faire des vêtements à sa mesure à récupérer plus tard. Sinon rencontre avec Lay, un super gars qui s'occupe du campement touristique... il nous fait la chambre à 5000 FCFA et on le remercie, voilà.

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1/04/08: Oussouye

Nous n'avons pas l'habitude d'arriver pendant les festivals... nous les manquons de quelques jours, mais d'Oussouye, nous nous sommes programmés un festival sur l'ïle de Karabane, le festival des Arts, et puis un festival du vin de palme, à Oussouye quelques jours plus tard.

C'est Ibou et son pote Germain qui nous ont accueilli (les campements étant vraiment trop cher). Nous avons vécu une expérience chez l'habitant particulière. Germain, membre de la famille royale, nous a organisé une rencontre avec le roi animiste de la région. Quelques échanges, questions et puis les photos... ensuite, on a goûté le vin de palme... c'est un liquide complètement naturel, on le cueille le matin (il est alors très doux et sans alcool), puis au fur et à mesure que la journée avance, il s'alcolise pour atteindre environ les 6%. Pour 250 FCFA la bouteille de 500 ml, c'est très économique... faut juste s'habituer au goût.

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2/04/08: MLomp

Germain nous a accompagné à M'Lomp, un petit village pas très loin (10 km), nous avons loué des vélos, mais l'état des routes, des vélos et la chaleur ont fait en sorte que notre balade s'est limitée à un aller-retour au village... Pas très sportifs!!

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3/04/08: Ile de Karabane

C'est impressionnant de voir la quantité de québécois qu'on peut retrouver sur cette île. Il y en avait au moins 6 dans notre campement seulement. De vrais vacances de bronzages... sauf que nous, c'est recopier les éléments importants du Lonely Planet qui a été notre principale activité. Le festival des Arts était intéressant. Nous avons pu voir pas mal de groupe jouer... disons que lorsqu'on est pas habitué, on peut trouver que ça se répète, mais c'est très excitant de voir les gens danser sur le rythme.

Un cimetière où un commandant à été enterré debout (faut le savoir, parce que rien d'apparent), à part ça, la plage. Sinon vu qu'on pouvait voir des vers grouiller dans l'eau du puit, on a préféré se contenter de boire l'eau en bouteille. Mais habituellement, c'est au micropur qu'on traite l'eau qu'on boit.

J'ai eu l'occasion de me faire montrer comment monter les cocotiers... j'ai pas réussit à me rendre en haut, c'est très dur je vous jure. Bon l'île de Karabane est sans doute l'un des plus beaux endroits qu'on a pu faire en Casamance.

Retour sur Oussouye - Avec un peu de retard sur ce qui était prévu, retour chez Germain pour festoyer au vin de palme.

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6/04/08: Cap Skyring

Le un peu plus touristique endroit (avec son club med) n'était pas notre destination tant attendue... en fait on hésitait à y venir. Heureusement, sur Karabane, j'ai rencontré Thierry, un "sénégaulois", français établi au Sénégal, qui tenait un campement traditionnel où plusieurs groupes venaient jouer. Nous y sommes restés pour assister à l'une de leur soirée: Terrible: Un show toride et transandental!!

Sinon, nous avons fait une première balade dans une mangrove (marécage où l'eau salée part et revient avec la marée). Malheureusement, Mu a perdu son bâton qui lui est toujours revenu jusqu'à présent. Nous avons du retourner nous y balader pour le retrouver... l'eau avait cependant bien montée.

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8/04/08: Ziguinchor

Bon, il fait vraiment plus chaud ici que sur la côte!! Mais Mu a eu l'occasion de prendre rendez-vous avec deux structures en lien avec son domaine de criminologie: un service d'action éducative, chargé de suivre les dossiers des délinquants juvéniles et un centre de sauvegarde ayant le projet d'accueillir des jeunes délinquants d'ici quelques années: rencontres passionnantes qui seront bientôt retransmises sur le site spécialisé en criminologie du blog....

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9/04/08: Kafountine

Surnommée la petite Jamaique, Kafountine est le lieux où pousse le plus gros stocks de canabis du pays: L'ambiance est baba cool. Malheureusement, notre temps ne nous aura pas permis de découvrir les multiples îlots dont l'activité foisonne et d'où on peut contempler les femmes cueillir et récolter le cannabis pendant que les hommes le transforment en résine... Avouez que le spectacle doit être étonnant!!!!

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11/04/08: Kolda

Pas d'interet... Cette ville, nommée à juste titre la ville étape, nous a simplement permis de couper la longue route de Zig à Tamba.... Finalement, le lendemain, arrivés au garage des taxis, nous avons fait affaire avec un taxi allant directement à Labé, en Guinée: plan révé: 24h de voiture (9 places) avec un ou deux arrets et arrivée au Fouta Djalon le lendemain... Juste un hic.. Nous avons attendu 6h que le véhicule se remplisse... Il faut s'armer de patience au Sénégal et accepter de perdre son temps, c'est juste une illustration de plus...

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LE SINE SALOUM

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28/03/08: NDangane et Mar Lodj

Nous aurions aimé passé plus de temps dans le Sine Saloum, région magnifique et surprenante du fleuve Saloum. Elle est vue comme l'un des plus beaux sites naturels et à juste titre! Région composée de mangroves et de palétuviers, elle est sauvage et authentique, riche tant en faune qu'en flore. Ndangane est le premier endroit du delta du Saloum. Etrangeté et particularité : la ville se divise en deux parties: le village et le campement, où vous imaginez bien que la différence se joue également au niveau des prix!!! On parle d'une différence de prix variant entre 500 et 10 000 FCFA dépendant si l'on prend la pyrogue ou le courrier (pyrogue collective). On nous a même fait croire qu'il n'y avait pas de courrier à cause du manque d'essence... nous faisant croire qu'on devait s'arranger avec eux. 200 mètres plus loin, on trouvait le courrier. Faut vraiment être vigilant pour ne pas se faire arnaquer!!

Mar Lodj est une petite île très jolie. Les gens font en sorte de nous convaincre de rester plus longtemps... on nous dit qu'il y a des compétitions de luttes, on est gentil avec nous, on nous offre le repas... mais ainsi va la vie, nous ne sommes que de passage et garderons en tête ce bel endroit, où nous avons tout de même passé un agréable moment...

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LA PETITE COTE

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*25/03/08: Toubab-Dialao

Depuis une vingtaine d'année, la petite côte est de plus en plus prisée des touristes et particulièrement des occidentaux qui viennent y construire de gros hotels ou des propriétés privées. Il est vrai que c'est un coin du Sénégal tout à fait reposant, charmant et propice à la fête et aux vacances!! Toubab Dialao, c'est un petit village de pécheur encore protégé, mais qui commence à prendre de l'ampleur: les gens construisent de plus en plus. Tout d'abord, c'est le fief des maisons secondaires des dakarois, qui viennent chercher la tranquilité. De plus, évenement nouveau qui joue énormément: D'ici 3 ans, un nouvel aéroport va voir le jour à 4 kilomètres du village et l'autoroute y passera également: Ce petit village de bord de mer commence donc à être prisé par tous et surtout par les oportunistes, qui savent que c'est encore le moment d'acheter, avant que le prix des terrains ne montent de trop!!! Alors avis aux interressés!!... Illustration: c'est le beau père de Soul qui nous a fourni l'hebergement dans sa petite maison de vacances très rustique. Toubab Dialao est aussi réputée pour la richesse de ses créations artistiques: C'est un petit coin où l'art est à son sommun: Bogolans, musique, scultures, peintures etc... un régal!! Les habitants sont vraiment sympas et très accueillants (même si l'on n'achète rien!! Et ça, c'est rare!!!)!! Nous avons rencontré un groupe de musique de la Guinée Conakry, Africa Melody, qui joue et chante la musique traditionnelle africaine. Après les avoir rencontré, nous leur avions promis de passer voir leur concert dans un resto le soir même: manque de chance: nous étions les seuls clients!! Motivés et passionnés, ils nous ont fait un concert privé, et nous avons dansé pour les remercier!!! Le lendemain, nous voulions visiter un campement écotouristique tenu par une franco québecoise. La femme n'était pas là, malheureusement, mais nous avons eu le plaisir de rencontrer 2 hommes d'affaires, propriètaires d'énormes hotels de la région et amoureux du Sénégal (et des sénégalaises...). Ayant pitiés de notre petite bourse, ils nous ont fait passer une soirée de luxe, à notre grand bonheur: martini, pastis, entrecote grillée, petits légumes, vin rouge...

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*26/03/08: Popenguine

Popenguine est le lieu saint des catholiques du Sénégal et de toute l'Afrique de l'ouest, qui viennent y faire des pélerinages jusqu'à la grotte où la vierge noire y serait apparu, particulièrement le jour de Paques, soit deux jours avant notre arrivée... C'est aussi pour la petite histoire le village où se trouve la maison secondaire du président: la seule en bord de mer protégée par un muret, afin que la mer, qui monte depuis quelques années, ne pénétre pas les murs. Les maisons de pécheurs voisines quant à elles se démolissent petit à petit, à chaque marrée montante et aux désarroits de leurs propriétaires qui contemplent le spectacle impuissants et soumis aux désirs de la nature. C'est dans un campement que nous nous retrouvons... encore sur le bord de l'eau, encore à entendre le bruit des vagues et le chant des oiseaux...

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*27/03/08: Joal-Fadyouth

L'île de Fadyouth est encore un petit endroit merveilleux, c'est l'île aux coquillages. Réellement! Elle est entièrement constituée de coquillages: si si!! Un gros pont de bois de plus de 500 mètres le relie à la cote , qui se nomme Joal, ville de naissance de Senghor, l'ancien illustreprésident du Sénégal. Nous avons dormi chez l'habitant, les campement étant encore trop cher. Cette île est particulière (avec son cimetière mixte d'une beautée incroyable). Aucune voiture évidemment, les rues sont en coquillages, les gens supers, quelques artistes qui travaillent avec du sable teint naturellement... Un des endroits les plus interressant du Sénégal!!

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