ITINERAIRE

NAISSANCE DU PROJET

Mug, c'est Mu et Hugues, c'est un peu de la France, et beaucoup du Québec. Du Québec, et surtout de Montréal, la plus grande ville de cette belle Province canadienne, où Hugues et moi nous sommes connus. Montréal, grand carrefour culturel, est un lieu de rencontre, de partage et de création, non seulement entre les peuples et les cultures, mais aussi, à plus petite échelle, entre juste un homme, et juste une femme.

Dans une ère où les interventions évoluent et progressent largement, où les moyens techniques nous permettent de dépassr nos propres horizons et de traverser les frontières, où tous les peuples se penchent sur des questions psycho-sociales qui concernent leurs ainés ou leurs jeunes, "Gé-cri de par le monde" symbolise notre projet commun, celui que nous présenterons tout au long de ces prochains mois.


Concrètement, "Gé-cri de par le monde" est le moyen qui nous donnera l'opportunité de témoigner des interventions concernant deux sciences humaines et sociales:

- La première, la gérontologie, désigne l'étude du vieillissement humain. Dans nos sociétés occidentales où la population est vieillissante, la notion de qualité de vie est essentielle. C'est dans ce souci qu'Hugues se penche sur la question des milieux de vie tels qu'ils existent actuellement dans le monde et sur la place que les loisirs occupent.


- La seconde, la criminologie, est une science qui étudie les comportements criminels et tente non seulement d'expliquer le phénomène, en axant principalement son regard sur les causes et les impacts de la délinquance, mais aussi d'apporter des solutions, notamment en terme d'intervention. C'est auprès des jeunes contrevenants, qui sont dans une période développementale complexe et déterminante, que Murielle consacre ses recherches et tentera de mettre en avant les pratiques d'interventions originales et efficaces en terme de diminution de la récidive.

Nos deux passions, unifiées en un blog, nous permettrons de rassembler les pratiques de divers origines ethniques afin de promouvoir des interventions concrètes visant une plus grande qualité de vie et un plus grand respect des droits et libertés de nos citoyens.

CARNET DE ROUTE....

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EN ITALIE: PISE ET LUCCA

C'est la première fois qu'avec Ryanair, le centre ville est à distance de marche de l'aéroport. L'ensemble de monuments autour de la tour de Pise sont hallucinants. Mais le reste de la ville ne vaut pas plus d'une journée de balade. Petit conseil, si jamais vous hésitez entre plusieurs guides de voyage, ne prenez pas le Petit Futé. Imaginez vous donc que j'avais la version 2007-2008 et que malgré ça, les auberges de jeunesse indiquées dans le guide n'existaient plus. Du coup l'hébergement le moins cher me revenait à près de 60 euros... vous me connaissez, hors de question que je paye une telle somme et comme je n'avais qu'une nuit à passer, mon plan était simplement d'aller dormir dans l'aéroport.

Je me suis donc rendu là assez tard, après avoir goûter d'autres délicieuses pizzas italiennes et avoir pas mal pris de photos de la tour. Arrivé à l'aéroport, j'appris qu'elle fermait vers 23h, tout de suite après le dernier vol et ne rouvrait qu'à 5h du matin... j'ai rapidement feuilleté mon guide et je vis qu'il y avait une auberge à Lucca (une belle ville rustique tout près) et dont le coût était de 10 euros la nuit...

Comme je ne faisait plus confiance au guide, j'ai décidé de faire un appel à l'auberge... aucune réponse, mais un épondeur. Je décide donc de partir, mais j'avais 5 minutes pour me rendre à la gare centrale pour prendre le dernier départ... j'ai couru avec mon gros sac, transpirant comme un malade et au final, j'ai capté tout juste le train, mais j'avais un de ces maux de genoux. Je ne vis aucun contrôleur en traversant le train d'un bout à l'autre, je me suis donc assis en me disant que j'avais une bone excuse pour ne pas avoir pu me procurer mon billet avant l'embarquement. Malheureusement, je fini par voir un homme vêtu d'un habillement de contrôleur qui s'approchait dans l'autre wagon... je me dirigea donc vers la cabine de la conductrice à qui j'expliqua mon histoire... elle me dit: Vous savez que vous qvez une pénalité de 5 euros lorsque vous achetez le ticket à bord? J'ai vraiment fait de mon mieux pour expliquer l'histoire et elle finit par accepter de me faire crédit de cette pénalité. En plus, en fin de compte, ce n'était même pas un contrôleur que j'avais aperçu dans l'autre wagon... pffffffffff

Bon, arrivé à Lucca, c'est à un chauffeur de taxi que je demandis où se trouvait l'adresse en question. Il me trouva un plan et m'indiqua que nous étions complètement en bas et que d'après lui, l'auberge se trouvait en haut de la carte, complètement à l'extérieur. Je marchis vraiment longtemps et par chance, fini par arriver sur la bonne rue. Devinez quoi, une fois arrivé à la bonne adresse, je pu voir un endroit condamné avec une pancarte indiquant que c'était une ancienne auberge et qu'elle avait été racheté par la ville... je m'audissais vraiment le bouquin à ce moment. J'ai eu beau faire pleins d'hôtels, la majorité était fermée, les autres pleins ou vraiment hors de prix. Je demandis à un hôtel si je pouvais m'asseoir sur le côté en attendant le levé du soleil, mais aucune compassion, elle refusa.



Je marchis donc à nouveau vers le centre et fini par trouver un bel arbre où je pouvais aller me poser juste en dessous... juste au moment où j'allais déposer mon sac, je vis un rat énorme... je déteste les rats et il était hors de question que je me pose là où il y en avait... je suis donc retourné jusqu'à la gare. Là, j'ai pu trouver des bancs extérieurs dont la majorité était déjà utilisé par des polonnais et des robineux. Les polonais dormaient, mais juste au moment où j'allais m'endormir, ils se réveillèrent et passèrent leur temps à parler et semblaient attendre que je m'endorment pour me voler... j'en ai eu marre et je décida de partir plus loin, sur un autre banc. La nuit fut très très froide, mais je pouvais dormir tranquille car j'avais pris soin de bien attacher mes bagages et mis mes bottes sous mon sleeping bag, entre mes jambes.

Le lendemain, c'est au petit café de la gare que j'amorçait ma journée. Je me suis dessiné un itinéraire sur la carte qu'on m'avait donné la veille... j'alla à l'hôtel de luxe voir si je ne pouvais pas laisser mes bagages, ils acceptèrent... ouf, je commençais vraiment à souffrir.

La ville de Lucca est vraiment fantastique, tout près de Pise, c'est un lieu à voir absolument. Les monuments sont vraiment beaux, mais c'est le fait que la ville est complètement encerclée par une palissade énorme, un peu comme Avignon, mais avec une palissade encore plus gigantesque.

Après avoir bien marché, j'ai repris mon sac et je suis retourné à Pise pour avoir l'occasion de voir la tour en plein jour.

Je me suis laissé tenté par une petite tour qui pouvait s'illuminé, un truc touristique soit, mais franchement, pour moi Pise c'était un objectif de jeunesse. Je devais m'y rendre au moins une fois et je voulais vraiment me procurer un souvenir de cette destination. J'ai donc essayé de redresser la tour de Pise.

En me baladant... j'ai vu un distributeur de pâtes... j'y croyais pas et j'ai pas voulu tester... mais j'en ai pris une photo.



De retour à l'aéroport, le bordel. On ne prit même pas mes bagages me disant que sans doute le vol allait être annulé. Heureusement, après 2 heures d'attente, on annonçait que le vol allait avoir lieu (plusieurs avaient été annulés... j'ai eu de la chance). J'ai halluciné sur le bordel qu'il y avait, les gens laissent leur bagage en tas les uns sur les autre... le personnel enjambait le tout... c'était vraiment un vrai beau bordel italien.



J'ai eu l'occasion de rencontrer à l'aéroport deux personnes vraiment sympa qui m'ont offerts le trajet de bus.. comme je voulais faire du pouce pour revenir de Beauvais à Paris, ce n'était plus possible à cause du retard... merci à vous deux.

RETOUR EN ALLEMAGNE: KÖLN, BONN ET KOBLENZ













Après tous les problèmes d'avion au départ de la Sicile, c'est avec joie que j'atterrissais à l'aéroport de Dusseldorf (comme à l'habitude avec la majorité des aéroports de Ryanair, pas du tout près de la ville). Moi j'étais tout content, malgré la température; il pleuvait et c'était très gris. Afin d'éviter de paer 19 euros pour le bus, j'ai décidé de marcher en faisant du pouce avec une petite pancarte écrit dessus Köln, c'est la ville de Cologne... mais en Allemagne ça s'écrit comme ça.

Un gars vraiment cool, marié une espagnole a fini par me ramasser... on avait près de 200 km à parcourir ensemble donc on a eu le temps de faire connaissance. Il devait à la base s'arrêter dans une petite ville avant, mais il m'a reconduit jusqu'en face de la maison où je devais aller... celle de Julie, une fille que j'ai rencontré 2 ans plus tôt sur le GR20, le parcours qui fait la Corse du Nord au Sud et d'une durée de 14 jours.

C'est avec surprise que la maître de la maison (qui parlait seulement allemand), m'a accueilli. Elle voyait bien que je connaissais Julie, mais elle semblait tout de même inquiète à l'idée d'accueillir un barbu et son gros sac à dos. Julie a fini par arriver heureusement.

On en a profité pour visiter la ville, fêter avec ses amis de bureaux (elle fait des lancements de navettes dans l'espaces la tite Julie), se faire du fun avec son amie Sara et mon amie Eve de l'Ecole de Français... A part l'accueil de fou, elle n'a jamais accepté que je paye quoi que ce soit pour la bouffe... même quand c'est moi qui faisait la cuisine.



























Nous sommes allé visiter ensemble un musée spécial, le centre de ducomentation socialiste fachiste de l'époque qui avait aussi servit de prison pour la guestapo. Malheureusement, nous avons décidé de commencer par les étages et lorsqu'à 15h50 (sachant que le musée fermait à 16h), nous avons décidé de descendre voir les prisons, nous nous sommes buté à une porte close. J'ai eu beau expliqué que je voulais descendre que 2 minutes, rien à faire... là j'ai fait la gueule pendant un petit bout... je suis vraiment allé dans ce musée pour voir les prisons, mais bon...

Autrement, la ville de Köln est vraiment chouette. De beaux monuments, des bars ou l'on peut boire tout genre de cocktail énorme pour à peine 3,90 euros, une cathédrale impressionnante, un système de train et de métro très efficace et ponctuel (bien affiché en plus) et évidemment, tout plein de marchés de noël.



Après les 3 jours à Köln, c'est à Bonn, à la résidence de Eve que j'allais passé les 3 jours suivants. Même si Bonn est l'ancienne capitale de l'Allemagne, il n'y a pas autant d'action qu'à Cologne.










Le fait est que même si Bonn est moins excitante comme ville, se nourrir n'est pas cer du tout. On y trouve de bons kebabs pour 1,50 euros. Sinon, Eve m'a fait découvrir son café étudiant préféré, on s'y donnair rdv chaque jour parce que Mlle Eve devait quand même travailler. Elle donne des cours de langue (attention, je parle du français), à des étudiants allemands.






A Bonn, il n'a jamais fait beau (vous pouvez voir à quel point les photos sont sombres. On a tout de même pu profiter un peu des marchés de Noël (on peut voir ici l'insigne Glühwein, le fameu vin chaud). Nous avons fait aussi quelques courses... si vous regardes les affiches au haut, vous pouvez lire le mot "Wurst"... ça veut dire saucisse. Il y en a de toutes les sortes, de tous les prix et pour tous les goûts.




J'ai voulu profiter de mon passage à Bonn pour me faire un petit musée... le plus nul que j'ai jamais fait. Ce n'était qu'en Allemand et ça racontait l'histoire de l'Allemagne après la deuxième grande guerre. Heureusement, il y avait un petit parc sur le bord du Rhin qui était très jolie.



Après c'est chez Timo que je partais. Un mec rencontré grâce à couch surfing et qui vivait à Koblenz, une belle petite ville, tout près de l'aéroport de Frankfurt, d'où je devais m'envoler pour Pise en Italie.




Il était super sympa, même s'il ne se rappelait plus quelle journée j'arrivais (il était vraiment surpris de recevoir mon coup de téléphone et que je lui annonce que j'arrivais dans une heure), il est venu me chercher à la gare, m'a fait faire une visite rapide en bagnole des attraits de la ville et m'a reconduit jusqu'à chez lui pour que je laisse mon sac à dos. De là, j'ai marché à l'aide d'une carte qu'il m'a fourni en sens inverse pour prendre le temps d'aprécier ce qu'il m'avait rapidement montrer. On peut voir quelques photos... sur les deux dernières on voit le sofa sur lequel j'ai dormi et à ma gauche Timo et ma droite, Frank, son coloc. La dernière photo c'est la plus vieille bâtisse de Koblenz. Tout comme Köln dont sa vieille ville a été détruite à 90% lors de la 2ieme guerre, Koblenz a aussi été pratiquement toute démolie.


LA SICILE

Ce que je peux dire, c'est qu'en Sicile il fait vraiment très chaud. C'est vraiment magnifique. La vie sur la Sicile de l'avion m'a donné envie de marcher de l'aéoport jusqu'à Trapani... une des grandes villes sur la côte Ouest. Chemin faisant, un homme s'est arrêté pour me demander si je ne voulais pas un lift. J'étais un peu surpris parce que je ne faisais même pas de stop à ce moment, mais j'ai accepté. Il parlait seulement italien, donc disons que nous devions nous limiter à un échange simple et concis.


Il m'a montré un moulin à côté d'une usine de sel, une vue magnifique sur un lac où se baignaient des hérons et des cigognes et arrivé à Trapani, il m'a fait une visite complet de la ville en bagnole. En finissant, arrêt café (que je lui ai offert pour le remercier). Sans critiquer, ce sont les mêmes tasses minuscules que l'on retrouve en France, mais ils ne les remplissent même pas à moitié, mais quelques gouttes au fond. Se boit en 2 secondes avec un verre d'eau et hop c'est repartit.

Il m'a conduit jusqu'au pied d'une montagne où se trouvait des bulles de remontées mécaniques. C'est là qu'il m'a laissé en me disant que c'était magnifique en haut. Dès qu'il est disparu, je me suis dit que je devais, par soucis d'économie, marcher au lieu de prendre le remonte pente touristique, mais les gens semblaient dire que ce n'était pas réellement possible... bref, j'ai utilisé le remonte pente... et franchement, ce n'était pas une mauvaise idée parce qu'en effet, la montée était particulièrement longue. Mais la ville de Erice (qui se trouve sur le dessus de la montagne) vaut particulièrement le coup et la vue d'en haut est au combien magnifique. Les visites de la moindre petite église est cependant payante et pas question d'acheter à manger en haut... les prix sont comment dire, touristiques.

Je suis donc redescendu à pied vers Trapani... une descente qui a duré facilement plus d'une heure. Vers la fin, j'avais une vue magnifique sur le stade de foot où se déroulait un match important, on pouvait entendre les cris de la foule et même voir les couleurs des maillots des joueurs.

Arrivé à nouveau à Trapani, il commençait à se faire tard et je me suis mis à la recherche d'un endroit où dormir (parce qu'avec couch surfing en Sicile, je n'avais rien trouvé). Le hic, c'est que le moins cher que j'ai réussi à trouver était 40 euros pour la nuit... hors de question que je paye se prix... donc j'ai cherché jusqu'à ce que je me fasse à l'idée que je ne trouverais rien de mieux et là je me suis rendu au terminus d'autobus pour aller directement à Palermo, la capitale... je savais que l'hébergement serait plus accessible là-bas.

Arrivé dans la capitale, j'ai sauté sur un internet café pour aller voir si je n'avais pas des réponses de couch surfing et voir aussi quel hôtel pourrait être plus accessible au niveau du prix. J'ai fini par trouver une petite chambre pour 20 euros (le prix est passé de 35 euros à 20 non sans difficulté en dealant bien). De la je suis allé me balader, mais il n'y avait pas beaucoup d'action vu que l'on était dimanche soir. J'ai quand même trouvé une petite place sympa où se trouvaient des restos et des bars. Je me suis laissé tenté par ma première pizza italienne (je vous assure, j'ai du redéfinir le sens du mot pizza en Italie)... elles sont tellement bonnes.

Le lendemain, petite balade dans Palerme. J'ai pu voir un parc superbe où se trouvaient de magnigiques statues, de belles fontaines et de beaux arbres exotiques. Ensuite, je me suis pris un petit mousseau et une bonne orange juteuse et je suis allé me poser au bord de la mer. C'était magnifique.

Je devais décidé ce que j'allais faire pour le reste de mes 4 jours... j'ai décidé d'y aller pour le plus économique et le moins fatiguant... rester à Palerme et visiter à pied les différents villages autour. Je planifiais dormir la dernière nuit à l'aéroport. J'ai aussi trouvé un autre hôtel, l'hôtel Paradiso dont on voit la photo... 2 nuits pour 18 euros chaque nuit.

Avec cette économie, je me suis acheté un chapeau sicilien pour 4 euros... avec des pizzas entières pour le même prix, j'avais de quoi bien profiter à petit coût.













































Le lendemain, je suis parti faire une grande balade vers la côte à l'ouest de Palerme. Pour ce, je devais contourner le Monte Pellegrino (même nom que l'eau) et passer au nord d'une région qui s'appelle Montreal. J'ai passé à travers un parc protégé où se trouvait, tout à l'entrée, un centre d'information. Quatres personnes y travaillaient. Lorsque je leur ai demandé pourquoi ils étaient 4 à travailler, ils se sont mis à rigoler en disant que c'était l'heure de la siesta et non de la fiesta, ils m'ont alors sorti une bouteille de vin et un verre qu'ils m'ont immédiatement bien rempli. Après avoir bien discuté sur pleins de sujets (je parlais espagnol malgré l'effort que je faisais pour leur parler en Italien), mais en gros ils me comprenaient assez bien et moi aussi, j'ai repris ma route. Ils m'ont dit que je risquais de croiser des prostituées sur le chemin, mais je ne pensais pas que ça arriverait pour vrai... on était quand même en forêt plus ou moins.

C'est 2 filles à peau noire qui me voyant arriver se sont dirigées vers moi, une tenait un parapluie à bout pointu et me disait "allons y"... je tentais de lui dire non merci, mais elle s'est mise à marcher devant moi en faisant tourner son parapluie... je me disait en moi-même, o merde, je suis peut-être en galère là. Elle a fini par s'arrêter, jeter son parapluie dans les buissons et s'est retournée en me regardant passer à côté d'elle et continuer ma route... comme vous pouvez voir les paysages sont magnifiques... j'ai même passer à travers une plantation de citronnier.

Arrivé sur la côte, j'ai profité du couché du soleil et de la mer avec ses belles vagues pendant quelques instants. Je ne voulais pas retourner à pied (quand même près de 4 heures de marche) et heureusement il y avait un bus qui me conduisait en plein centre de Palerme.

Arrivé là, je suis retourné pour prendre au même endroit que les 2 autres soirées une pizza... malheureusement, ils ne commençaient pas à servir avant 19h... ils mangent tard quand même. J'en ai profité pour me trouver une autre bonne bouteille et quelques cartes postales à envoyer.

Le lendemain je repartais pour l'aéroport... j'ai profité de la télévision de la chambre pour voir un peu ce qu'on pouvait trouver comme émission interressante à la tété... à part des émissions de télé achats, il n'y avait absolument rien.

A l'aéroport, je ne pouvais pas laisser mon sac nul part... j'ai donc eu le courage de marcher un peu à l'extérieur, m'assoier dans un champ et écrire quelques lignes dans mon livre de bord. J'ai bien fait parce que j'ai eu droit à un spectacle magnifique. Un beau couché de soleil avec, au moment où le dernier rayon disparaissait, une musique qui venait de je ne sais où.

J'ai trouvé une prise à l'aéroport, j'ai donc pu en profiter pour visionner ce que j'avais filmé sans vider ma batterie. Je me suis couché dans mon sleeping bag en prenant bien soin d'aviser la police et le personnel de Ryanair de ma présence... tout de même, 2 policiers m'ont réveillé vers une heure en me demandant de leur donner mon passeport pour "vérification". Bon j'ai toujours de la difficulté à me rendormir après avoir interrompu me sommeil et là, j'avais vraiment très soif. Le système d'eau en Sicile n'est pas parfait et les gens m'ont bien dit de ne pas boire l'eau de robinet... j'ai donc esayer de quêter un peu d'eau au douanier... les sympa ont eu pitié de moi j'imagine et m'ont donné une bouteille... heureusement.

Le lendemain, nous sommes entrer à 10 dans l'avion, ils nous ont demandé ensuite de sortir à 11h parce que l'avion avait un problème... après une heure d'attente, ils nous ont donné un ticket valable pour un sandwich et une boisson dans les casses-croutes de l'aéroport. J'ai eu suite à ça 2 autres problèmes avec Ryanair et je vous jure, c'est la seule fois qu'ils nous ont donné quelque chose pour s'excuser.















La dernière photo, c'est une vue magnigique de la Corse que j'avais de l'avion... ce qu'on voit c'est une vue du nord, pour ceux qui en connaissent la forme, on la voit vraiment bien.